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Disque-Monde : le vade-mecum nec plus ultra / Terry Pratchett, Stephen Briggs 13/02/2024

Posted by Rincevent in Mes lectures, Terry Pratchett.
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Vingt-trois ans après sa première version, voici la troisième (et dernière) mouture d’une encyclopédie du Disque-Monde. Le Disque-Monde : le vade-mecum nec plus ultra de Terry Pratchett et Stephen Briggs est paru chez L’Atalante en fin d’année dernière.
ISBN 9791036001628

Disque-Monde : le vade-mecum nec plus ultra / Terry Pratchett, Stephen Briggs

Disque-Monde : le vade-mecum nec plus ultra / Terry Pratchett, Stephen Briggs

Cet ouvrage se veut un dictionnaire mis-à-jour de l’univers fabuleux créé par Sir Terry Pratchett. Comme l’explique Stephen Briggs, qui l’a actualisé seul, il a fallu tenir compte des derniers romans parus et réfléchir, forcément, à quelles entrées conserver. Le tout sans que ce soit bien rationnel. Ainsi certains personnages mineurs éjectés à la seconde édition sont revenus quand d’autres un peu plus conséquents ont dû faire de la place aux personnages principaux des derniers volumes. Notons par ailleurs que cet ouvrage mentionne aussi quelques livres annexes de la série, comme les cartes, les guides ou agendas. La lecture en est très agréable, ne serait-ce que parce qu’on conserve l’humour de Pratchett. Comment ne pas éclater de rire en lisant, au sujet de Ptorothée (personnage n’apparaissant que dans un seul volume) que « son chant évoque une bande de vautours qui viennent de trouver un âne crevé » ? Ou en tombant sur la mention de « ces saucisses, vous savez, celles qui ont une peau transparente à travers laquelle on voit de temps en temps une tache verte qu’on espère de la sauge » ? Les pages sont agrémentées d’illustrations en noir et blanc de l’inimitable Paul Kidby, certaines m’étant inconnues (mais c’est un artiste prolifique, ce qui n’est donc pas surprenant). La lecture de tel ou tel article suscite la nostalgie et, je n’en doute pas, pourra aussi inciter à se replonger dans les Annales. Bref, un livre assez épais, pas indispensable mais quand-même bien agréable et peut-être même pratique pour le fan absolu de l’œuvre. Ainsi, et comme toujours, la tortue se meut.

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